Yahoo Actualités "Je me suis évanouie tellement je me trouvais horrible" : Arielle Dombasle évoque sans filtre une de ses apparitions de cinéma qu’elle a détesté
Invitée dans l’émission de Canal+ En Aparté ce lundi 18 septembre, l’actrice et réalisatrice Arielle Dombasle est revenue auprès de Nathalie Levy sur son parcours. Elle en a aussi profité pour revenir sur la découverte de son rôle sur grand écran lors de sa collaboration avec le cinéaste Éric Rohmer et Fabrice Luchini dans le film Perceval le Gallois en 1979.
"C’est une apparition que j’ai détestée ! Quand j’ai vu le film, je me suis évanouie tellement je me trouvais horrible parce que je n’avais pas de frange, le maquillage il fallait un maquillage très spécial parce que tout était éclairé à la bougie et Nestor Almendros qui, pourtant, est un immense opérateur m’avait dit ‘écoute chérie, je suis désolé, c’est vrai je t’ai un peu raté’, mais c’était extraordinairement intéressant de commencer par ça, ça s’appelle les mystères du Moyen-âge, les chrétiens de Troyes, alors il fallait tout apprendre, apprendre avec Fabrice (Luchini, ndlr). Nous avons appris à chanter, ça a duré un an et puis les gestes, c’est une chanson de gestes et puis tout est artificiel, c’est loin d’être du cinéma naturaliste, donc c’était très difficile à faire" a-t-elle expliqué avant de revenir sur sa relation avec Éric Rohmer.
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"C’est le cinéaste qui m’a découvert, regardé. Il s’est dit ‘cette fille est très intéressante et on peut faire beaucoup de choses’, il m’a toujours dit ‘toi, tu es une actrice de composition, tu peux jouer beaucoup, beaucoup de choses très différentes’ et c’est ce qu’il m’a fait jouer d’ailleurs. Il a même mis en scène un de mes clips, c’est un grand maître, mais ce qui est étonnant, c’est que Rohmer est un cinéaste dans tous les pays du monde, il fait frémir, il émeut, les gens se reconnaissent", a-t-elle expliqué à Nathalie Lévy.
Arielle Dombasle était présente...
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