Éruptions volcaniques, bâtons de sorcellerie et bilan carbone des JO : l'actu des sciences en ultrabrèves

Au sommaire des ultrabrèves du 3 juillet 2024 : les éruptions volcaniques de retour en Islande, des traces de bâtons en Australie signes de rituels et le bilan carbone des Jeux Olympiques 2024.

L’actualité scientifique du 3 juillet 2024, c’est :

En géologie : Islande : les éruptions volcaniques pourraient durer des décennies.

  • Depuis 2021, après 800 ans de calme volcanique dans la région de Reykjanes, des éruptions témoignent du réveil de l’activité volcanique.

  • Une étude suggère que ces éruptions pourraient se poursuivre pendant des années, voire des décennies.

  • Une région densément peuplée avec sept islandais sur dix vivant dans cette région, poussant les autorités à déclarer l’état d’urgence en mars 2021.


En archéologie : Des bâtons de sorcellerie vieux de 12.000 ans révèlent de mystérieux rituels aborigènes.

  • Selon une étude, des traces de bâtons vieux de 11.000 et 12.000 ans ont été découvertes dans une grotte en Australie.

  • Une recherche qui a été menée au pied des Alpes australiennes en collaboration avec la communauté aborigène locale des Gunaikurnai.

  • L’étude relie l’existence de ces traces de bâtons à des rituels de guérison pratiqués par les Gunaikurnai de l’époque.


En nature et environnement : Les Jeux Olympiques de Paris 2024 seront-ils neutres en carbone ?

  • Le comité d’organisation des Jeux Olympiques de Paris 2024 a publié sa première estimation des émissions carbone de l’évènement international.

  • L’enjeu était de réduire les émissions de gaz à effet de serre de façon à ne pas dépasser plus d’1,58 million de tonnes de CO2.

  • Un bilan carbone alourdi par le transport des spectateurs qui prennent en grande partie l’avion.


En éthologie : Des fourmis chirurgiennes amputent les membres infectés de leurs congénères.

  • L’amputation est un processus qui permet d’éviter la propagation d’une infection bactérienne de se développer dans le reste du corps jusqu’à tuer la victime.

  • Une équipe de chercheurs allemands a démontré qu’une espèce de fourmi pratiquait l’amputation.

  • Ils ont plus particulièrement observé l’espèce Camponotus floridanus, laquelle ne dispose pas d’arme antiseptique comme d’autres espèces de fourmi et donc pratique l’amputation.


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