À l’heure des dissensions et des paillettes

Antoine Griezmann lors du match de l'équipe de France de football contre les Pays-Bas le 21 juin.  - Credit:Lee Smith / REUTERS
Antoine Griezmann lors du match de l'équipe de France de football contre les Pays-Bas le 21 juin. - Credit:Lee Smith / REUTERS

L'annonce de la dissolution n'en finit pas de rebattre les cartes et de bouleverser l'échiquier politique. D'un côté, Raphaël Glucksmann, via une « charte d'engagement républicain » contre l'antisémitisme – non ratifiée par les Insoumis –, prend largement ses distances avec Jean-Luc Mélenchon. De l'autre, une « majorité présidentielle » qui ne dit plus son nom et tente un « bloc central » aspirant « à proposer des solutions qui ne sont pas celles des extrêmes », selon les mots d'Édouard Philippe repris dans la chronique de Sophie Coignard. Les débats s'annoncent mouvementés, voire houleux. Jusqu'au sacro-saint déjeuner dominical où, comme le détaille l'article de Sophie Hienard, les divisions familiales sont exacerbées et incarnent le fossé politique qui s'est creusé entre les générations.

► EURO 2024. Inutile de jouer au foot tous les week-ends pour affirmer qu'on s'est ennuyé ferme vendredi soir devant le match France-Pays-Bas. Excellents en défense et quasi-absents en attaque malgré les quelques tentatives d'Antoine Griezmann et le retour fracassant du génial N'Golo Kanté, les Bleus font, comme à chaque début de compétition, l'objet de toutes les critiques. En ligne de mire : leur sélectionneur, accusé de négliger la stratégie offensive et de manquer d'initiatives, tel que le relate Adrien Mathieu dans son article L'équipe de France de Didier Deschamps : l'ennui à tout prix ?

► PAILLETTES. Alors que la Fashion Week dédiée à la mode masculine vient de s'ac [...] Lire la suite