Urgences : voici l'équipement médical essentiel que doit avoir une ambulance

Avec plus de 28 000 ambulances et véhicules sanitaires légers (VSL) sur tout le territoire, le secteur des transports sanitaires fait travailler environ 60 000 employés. Il comptabilise un nombre astronomique de trajets par an : 61 millions pour 2,7 millions de patients en 2020. Être ambulancier n’est pas de tout repos ; le métier implique de passer dix à douze heures par jour dans le véhicule. Un diplôme d'État sanctionne deux ans de formation dédiée aux gestes de secours et au transport des personnes, mais aussi à la conduite sous deux tons (la fameuse sirène), à l’entretien du véhicule et à la prise en charge du matériel. Ce dernier comprend des équipements spécifiques, dont certains sont obligatoires et d'autres optionnels selon le type d’ambulance (A,B ou C). C’est le CHU du secteur qui détermine le contenu précis de la cellule sanitaire. L’ambulance de type B permet d’assurer les soins d’urgence et de premier secours à des malades transportés en position allongée. À son bord, au moins un ambulancier et un auxiliaire. Un médecin peut aussi être amené à partir en intervention.

Il varie selon les situations. Certains sont spécifiques aux traumatismes, à l’immobilisation, et même aux nourrissons. Le brancard de type cuillère permet de relever une victime en la manipulant au minium. L’auto-chargement se fait sur un plateau qui permet la fixation du brancard dans le véhicule. D’ailleurs, tout le matériel doit être attaché quand le véhicule est en mouvement.

On y trouve de quoi (...)

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