Tumeur cérébrale : une nouvelle étude accuse ces médicaments

Les contraceptifs, la thérapie hormonale pour la ménopause, le traitement pour l’endométriose et le syndrome des ovaires polykystiques…de nombreuses femmes dans le monde soignent certains troubles avec des médicaments à base de progestatifs. Cette molécule essaye de reproduire l’effet de l’hormone naturelle progestérone. Or, d’après une récente étude française, l’utilisation prolongée de ces médicaments serait associée à une augmentation du risque de tumeur cérébrale appelée méningiome intracrânien.

Qu'est-ce que le méningiome ?

Les méningiomes sont généralement des tumeurs non cancéreuses situées dans les couches de tissu, appelés méninges qui recouvrent le cerveau et la moelle épinière. Des facteurs de risque tels que l’âge, le sexe féminin, et l’exposition à trois progestatifs à forte dose, étaient déjà connus pour augmenter le risque de méningiomes. Mais il existe de nombreux autres progestatifs pour lesquels ce risque n'a pas été estimé. C’est ce que les chercheurs ont essayé d’évaluer dans cette étude. « Je suis très fière d'avoir contribué à notre dernière étude parue dans le BMJ. L’utilisation de l'acétate de médroxyprogesterone, contraceptif injectable très largement utilisé dans le monde (74 millions de femmes) mais très peu en France, augmente le risque le méningiome intracrânien, à l’inverse des données sur le lévonorgestrel contenu dans les stérilets hormonaux qui sont rassurantes (...)

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