Toyota Yaris : plusieurs nouveautés dont une motorisation hybride

Elle est depuis plus de dix ans la reine incontestée des citadines hybrides. La Toyota Yaris, made in France et star des ventes chez nous vient de passer le cap symbolique des 10 millions d’exemplaires produits ! Une belle récompense, pour un constructeur arrivé relativement tard sur cette catégorie reine en Europe.

La première génération n’avait en effet été lancée qu’en 1999. Face à de redoutables Renault Clio, Opel Corsa, Peugeot 206, Ford Fiesta et Citroën C3. Le concurrent Nissan avait lancé sa Micra dès 1992, qui était un joli succès. Pour Toyota, la Starlet (qui n’avait pas été conçue spécifiquement pour l’Europe) lancée en 1996 était vieillotte dès son lancement. L’arrivée de la Yaris (appelée Vitz et Echo hors d’Europe) en 1999 était donc salutaire. Elle s’est depuis déclinée en trois générations supplémentaire, en 2005, 2011 et enfin 2020.

Un bloc hybride, deux blocs essence

La quatrième et actuelle génération est toujours assemblée dans le Nord (59), à Onnaing. C’est ce site qui vient de célébrer en grande pompe la 10 millionième Yaris produite depuis 1999. Pionnier de l’hybride depuis la première Prius en 1997, Toyota en avait doté sa citadine Yaris dès 2012. C'était sur la troisième génération. L’actuelle n’y déroge pas, et propose une motorisation full hybride (non rechargeable) de 116 chevaux. Même si cette déclinaison représente la très grande majorité des ventes européennes de la Yaris, elle ne fait pour autant l’impasse sur le thermique. Deux motorisations essence sont proposées (les diesel D-4D n’ont pas été reconduits). Lire la suite sur Autoplus