“The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom” a tout pour devenir un incontournable

Peu de licences peuvent se targuer de compter un titre de référence ayant redéfini les canons du jeu vidéo. Zelda en compte une poignée, et le dernier volet – Tears of the Kingdom (TotK), qui sort ce 12 mai sur Switch – pourrait bien s’ajouter à la liste des jeux vidéo les plus importants. Ainsi, The Washington Post titre : “On n’avait encore jamais rien vu de tel.” Un sentiment partagé par de nombreux critiques, qui ont pu tester TotK en avant-première.

Bloomberg rappelle que le titre fait suite à Breath of the Wild, sorti en 2017 avec un accueil impressionnant de la presse et du public (29 millions d’exemplaires vendus). “Ce nouveau jeu, dans lequel le joueur incarne toujours Link, un héros silencieux mais particulièrement expressif qui doit une fois de plus sauver le royaume d’Hyrule du démoniaque Ganon, suscite beaucoup d’attentes.”

Appartenant au grand genre dit de “l’action-aventure”, ce dernier Zelda en date compte bien sûr des quêtes à accomplir, des ennemis à combattre et des casse-tête à résoudre. Mais la découverte du monde en elle-même constitue un attrait majeur, détaille le média économique. Breath of the Wild était une véritable révélation, car il permettait aux joueurs d’explorer le moindre recoin d’un univers en apparence infini. Tears of the Kingdom reprend le même, augmenté de nouvelles dimensions, notamment des îles volantes […] et un territoire souterrain.”

Rouler des mécaniques de jeu

Les nouvelles mécaniques inventées par « The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom » permettent la création d’objets, armes et véhicules loufoques.. Nintendo
Les nouvelles mécaniques inventées par « The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom » permettent la création d’objets, armes et véhicules loufoques.. Nintendo

Mais, au-delà de l’impressionnante échelle de sa carte, ce sont deux innovations au rayon des mécaniques de jeu qui suscitent un enthousiasme immédiat pour TotK. La première, baptisée “Emprise”, prête des pouvoirs de télékinésie au héros. La seconde, “Amalgame”, permet de combiner deux objets entre eux et de “piocher encore et encore dans le puits sans fond de l’imagination en associant toutes sortes de matériaux”, souligne le Washington Post. De quoi laisser s’exprimer la créativité des joueurs.

Keza MacDonald, critique du Guardian, a tenté de fabriquer, entre deux fous rires, un chariot propulsé par un lance-flammes. L’équilibre est précaire : “Link chute de sa monture, et le fruit de mon dur labeur se réduit – littéralement – en cendres sous mes yeux. Les quelques composants non inflammables chutent au sol de façon pathétique. De toute évidence, fabriquer un kart en bois équipé d’un lance-flammes n’était pas l’idée du siècle.”

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