Test ADN : ce que vous devez savoir avant de le réaliser

Les fans de généalogie connaissent MyHeritage, basé en Israël, qui revendique 50 millions d’utilisateurs dans le monde, ou Ancestry.com, une entreprise américaine présente dans huit pays avec un chiffre d’affaires de 1 milliard d’euros en 2017. Ces sites permettent de faire son arbre généalogique en ligne et de profiter de leurs bases de données constituées d’actes publics et des recherches des autres internautes avec lesquelles croiser ses propres informations.

On y apprendrait, par exemple, qu’on est européen à 100 % avec x pourcentage d’origine scandinave, juive ou méditerranéenne. Chez IGENEA, on vous promet des infos génétiques remontant à 100 000 ans ! Dans Héritage, l’autrice, Dani Shapiro, se découvre un patrimoine génétique irlandais, alors que toute sa famille est originaire d’Europe centrale.

Pas en France, où il est interdit de réaliser ou de solliciter un test génétique sans ordonnance médicale, injonction judiciaire ou projet de recherche strictement défini, sous peine d’amende. « Le fait, pour une personne, de solliciter l’examen de ses caractéristiques génétiques ou de celles d’un tiers ou l’identification d’une personne par ses empreintes génétiques en dehors des conditions prévues par la loi est puni de 3 750 € d’amende », indique l’article 226-28-1 du Code pénal.On ne trouve donc ce genre de test que par correspondance : le kit de prélèvement arrive et repart par La Poste. Ces résultats ne peuvent donc pas être utilisés dans le cadre d’une démarche légale. (...)

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