Le terrible mystère qui entoure la mort de Mussolini

Sept heures du matin le 29 avril 1945. Une voiture qui sillonne Milan délivre par haut-parleur un message stupéfiant : les dépouilles de Benito Mussolini, tué la veille par des résistants communistes, de sa maîtresse Clara Petacci, et de plusieurs dignitaires du régime sont exposées place Loreto. Un an plus tôt, les fascistes y avaient exhibé les cadavres de quinze partisans. C’est l’heure de la revanche.

Sur la place, la foule emportée par la haine va s’acharner sur les cadavres de ses anciens bourreaux. Coups de pieds, crachats, jets d’ordures, d’excréments, d’urine : les corps deviennent des amas de chair. Le Duce, admiré tel un César pendant deux décennies, notamment à Milan, ville où est né le fascisme italien, n’inspire plus à son peuple que répulsion et désir de vengeance. Une femme dévorée de désespoir tire sur sa dépouille. Cinq coups, « pour ses cinq fils ».

Vers 11 heures du matin, les corps en charpie sont hissés par les pieds aux poutres d’une station-service. Clara Petacci n’a pas eu le temps d’enfiler de sous-vêtements lors de son arrestation et ne porte qu’une jupe au moment de son exécution. Dans la foule, seul un prêtre magnanime interviendra pour relever le vêtement et recouvrir ainsi son pubis dénudé.

La déchéance de l’homme fort de l’Italie débute le 10 juillet 1943, avec le débarquement anglo-américain en Sicile. A Rome, c’est la panique : le Grand Conseil fasciste destitue Mussolini le 25 juillet 1943, pensant offrir sa tête aux Alliés pour se protéger. Le (...)

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