Un taux de fer trop bas pourrait prédire un Covid long, découvrent des scientifiques

Les scientifiques commencent à peine à percer les secrets du "Covid long", cette maladie qui (selon Santé Publique France) affecterait 2 millions de personnes dans l'Hexagone. Pour rappel, le Covid long correspond (d'après les autorités sanitaires) à la persistance de symptômes "au-delà de 4 semaines après la date présumée de contamination et qui ne peuvent pas être expliqués par une autre maladie." À l'heure actuelle, l'un des enjeux principaux de la recherche, c'est de réussir à prévoir quels sont les patients qui risquent de développer un Covid long après une infection par le coronavirus SARS-CoV-2. Justement : une nouvelle étude, réalisée par la University of Cambridge (en Angleterre), propose une piste supplémentaire pour répondre à cette épineuse question. En analysant des échantillons de sang prélevés sur 214 patients diagnostiqués "positif" au coronavirus SARS-CoV-2, les chercheurs anglais ont découvert qu'un taux sanguin de fer anormalement bas juste après l'infection pouvait constituer un facteur de risque pour un Covid long, plusieurs mois après.

Une simple prise de sang pour prédire le Covid long ?

Comment l'expliquer ? "Quand le corps est le siège d'une infection, il réduit son taux sanguin de fer afin d'éviter que ce minéral ne serve à nourrir des bactéries potentiellement létales" expliquent les scientifiques. Problème : comme le soulignent les chercheurs, quand cet état d'anémie ferriprive se prolonge dans le temps, (...)

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