Yahoo Actualités Sida, crocodile de l’Orénoque et reconnaissance faciale : l'actu des sciences en ultrabrèves
Au sommaire des ultrabrèves du 3 août 2023 : un gène capable de limiter la réplication du VIH a été identifié, les crocodiles de l’Orénoque pourront peut-être être sauvés de l'extinction et le chercheur Jean-Gabriel Ganascia évoque la reconnaissance faciale.
Au sommaire des ultrabrèves du 3 août 2023 :
En santé : Sida : un gène capable de limiter la réplication du VIH a été découvert.
Le gène CHD1L, découvert au sein de populations africaines, permet de contrôler les niveaux de VIH, le virus du Sida.
Cependant, sur le plan clinique, les personnes porteuses du VIH et de ce gène protecteur ne sont pas moins malades que les autres.
La découverte de ce gène pourrait tout de même, à terme, mener à de nouveaux traitements.
En animaux : Une population élevée en captivité pourra-t-elle sauver le crocodile de l’Orénoque ?
Originaire du bassin de l’Orénoque, entre la Colombie et le Vénézuela, le crocodile éponyme est en voie de disparition.
Mais une population élevée en captivité pourrait bien sauver l'espèce, grâce aux 600 crocodiles qu'elle compte.
Cependant, il faut que cette population possède une certaine diversité génétique pour s'adapter à une vie dans la nature.
En high-tech : Reconnaissance faciale : nos peurs sont-elles rationnelles ?
En 2019, un homme innocent a été accusé de braquage à cause de la reconnaissance faciale.
Jean-Gabriel Ganascia, spécialiste en intelligence artificielle et professeur à la Sorbonne université, rappelle que cette technologie est "très dépendante des conditions d’éclairage et peut être aisément trompée".
“On peut utiliser ce genre de technologie à condition de savoir à quoi elles servent et comment les données vont être traitées”, remarque le chercheur à propos de l'intelligence artificielle.
En nature : Des zones entières du nord de la Chine sous les eaux.
Après les pluies d'une ampleur historique qui ont frappé des jours durant Pékin et ses environs, des zones entières sont sous l'eau.
Les scientifiques ont souligné que ces phénomènes météorologiques sont exacerbés par le changement climatique.
Le service météorologique de Pékin a annoncé que les pluies qui ont frappé la capitale chinoise ces derniers jours avaient été les plus fortes depuis le début des relevés il y a 140 an[...]
Lire la suite sur sciencesetavenir.fr
