Renault Zoé, la nouvelle coqueluche des taxis au Brésil

Dévoilée en 2012, alors que la vague des véhicules électriques en était encore à ses balbutiements, la Renault Zoé s’est rapidement fait un nom et une réputation sur le créneau des véhicules à batteries. À l’époque, c’est Nissan qui avait été le précurseur de cette catégorie en Europe avec sa berline Leaf, dévoilée en 2009. Chez PSA, les Citroën C-Zero et Peugeot iOn n’étaient que des dérivés de la Mitsubishi i-MiEV, et non des modèles à part entière. Agile, pratique, et à la bouille sympathique, la Zoé a été plusieurs années durant à la tête des ventes électriques en Europe. Malgré ses onze ans d’âge, elle est restée relativement compétitive au sein de la gamme Renault. En France, en 2023, elle était ainsi la sixième meilleure vente électrique du marché. Derrière les Tesla Model Y, Dacia Spring, Fiat 500, Renault Mégane électrique et MG4.

Renault et le Brésil, une histoire ancienne

Mais, loin de notre pays et de notre vieille Europe, il est un continent où Renault rencontre aussi un franc succès. L’Amérique du Sud. Le constructeur y dispose de filiales dans 5 pays : l’Argentine, le Brésil, la Colombie, le Mexique et le Venezuela. Certaines depuis 1997 déjà. Il possède des usines dans les trois premiers, ainsi que d’une usine de composants au Chili (boîtes de vitesses). Au Brésil, la marque est l’une des leaders du marché, avec Volkswagen, Chevrolet et Fiat. La Zoé y est proposée, alors que dans ces pays émergents la mobilité électrique...Lire la suite sur Autoplus