Elle reçoit 5.000 euros d'amende pour une voiture vendue... en 2017

Ce sont des imbroglios auxquels certains Français sont confrontés à cause de vides administratifs ou juridiques. Comme l'expliquait Actu.fr le 13 octobre dernier, une jeune bordelaise se retrouve aujourd'hui contrainte de payer une somme mirobolante pour des infractions de stationnement commises avec une voiture… qu'elle a vendue cinq ans en arrière. Tout commence en 2017 lorsque la jeune femme met en vente sa Twingo. Elle recevra bien un certificat de cession, document indispensable, mais il ne sera jamais enregistré par l'administration.

Rien à l'horizon jusqu'en juillet 2019 quand les ennuis vont finalement commencer. La jeune femme va recevoir de nombreuses amendes liées à des infractions de stationnement. Il s'agit de bien de son ancienne Twingo sur les documents, un véhicule vendu deux ans en arrière. Contester ? C'est possible lui rétorque l'administration, mais pour cela, comme toujours, il faut d'abord payer. "Je n'avais pas la possibilité de régler toutes les amendes, sachant que j'en recevais quasiment toutes les semaines", explique-t-elle à Actu.fr.

Elle déménage, puis ne reçoit plus de courriers avant que son compte en banque ne soit saisi de 1.400 euros. Car à sa plus grande surprise, et pour son plus grand malheur, les contraventions ont continué de s'entasser dans la boîte aux lettres de son ancien domicile. En se rapprochant de l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS), elle apprend qu'elle doit fournir l'accusé de réception du certificat de cession du véhicule. (...)

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