Rachel Legrain-Trapani sur ses premiers pas au théâtre : "Je n'avais pas envie d'être dans le rôle de Miss France toute ma vie"

Vous vous êtes récemment mariée. Félicitations ! Comment vous êtes-vous organisée entre les préparatifs et le fait de monter sur les planches ?

Rachel Legrain-Trapani : Pour tout vous expliquer, le mariage, ça s'est fait en très, très peu de temps. Et heureusement que les wedding planners existent (rires). Sinon, jamais je n'aurais pu organiser quoi que ce soit avec la vie qu'on a chacun, les enfants, etc. C'est pour ça d'ailleurs qu'on voulait quelque chose de simple, sans chichi, et c'était très bien comme ça.

À lire également

"Elle m’en a voulu à mort" : Sylvie Tellier raconte sa brouille avec Alicia Aylies Miss France 2017

Comme gérez-vous ce début de carrière en parallèle de votre vie de famille, votre vie de maman, puis votre vie de femme tout court ?

Franchement ? Je ne sais pas. Je prends beaucoup de vitamines (rires), mais c'est sûr qu'il faut beaucoup d'organisation. Et j'ai beaucoup de chance, car j'ai mes parents qui m'aident beaucoup pour les enfants donc ça, ça me sauve la vie. En une journée, je n'ai pas le temps de faire tout ce que j'ai à faire mais après, c'est super plaisant, je ne m'ennuie absolument pas dans ma vie.

Comment vous êtes-vous convaincue de vous lancer dans cette carrière ?

La comédie, je rêve d'en faire depuis que je suis toute gamine et je n'ai jamais eu l'occasion d'aller au bout. À chaque fois, il se passait un truc et ça échouait… Là, je me suis dit : "Tu avoir 36 ans, si tu ne tentes pas ta chance maintenant, si tu ne vas pas au bout de ce que tu as envie de faire maintenant, tu ne le feras jamais". C'est pour ça que je me suis donné les moyens et aujourd'hui, je vais tout faire pour rassurer. Pour moi, vraiment, c'est une passion, j'ai fait du théâtre plus jeune, j'en ai fait au lycée. J'ai fait le Studio Pygmalion, donc je me suis beaucoup formée, j'ai fait beaucoup d'acting, etc., mais je n'avais jamais franchi le pas de passer un casting. J'avais cette peur d'échouer, de ne pas voir les épaules pour ça… Et puis, il y avait aussi ce côté étiquette Miss France.

Miss France a quand même été un tremplin pour vous, une sorte de marchepied, non ?

Bien sûr ! À la base, j'ai pa...

Lire la suite sur Télé 7 Jours

A lire aussi