Les résidants de cette ville pourront enfin adopter un chat après 35 ans d'interdiction

Ce n’est pas un rêve. Depuis 1989, les félins sont interdits dans les appartements administrés par le Conseil du développement et du logement (HDB) de Singapour. Plusieurs Singapouriens n’ont donc pas eu le droit, ni le plaisir d’avoir un chat dans leur logement, jusqu’à cette nouvelle réglementation.

À Singapour, cité-État située au large du sud de la Malaisie, 80 % de la population vit dans des logements du HDB, rapporte le média Ouest-France. La particularité de ces lieux ? Dedans, les habitants doivent respecter des règles strictes, dont l’interdiction d’apporter un chat dans son logement, au risque de payer une amende allant jusqu’à 2 752 euros. Selon le site du HDB, les chats sont interdits, car “ils ont tendance à perdre leurs poils, à déféquer ou à uriner dans les lieux publics, et à émettre également des miaulements qui peuvent gêner les voisins”. Ainsi, depuis 1989, les locataires des appartements du HBD sont privés de chats. En revanche, certaines races de chiens, 62, précisément, sont autorisées, dont les Bichons frisés, les Chihuahuas ou encore les Cairns Terriers.

Les Singapouriens peuvent enfin dire ouf. Le conseil du HDB a décidé de lever cette interdiction lors d’une consultation publique, tenue le 6 mars 2024. Cette nouvelle réglementation est accueillie avec beaucoup de ferveur puisque 90 % des locataires estiment que les chats doivent être autorisés dans ces logements publics, indique Ouest-France. Ainsi, à compter du 1er septembre 2024, les résidents pourront (...)

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