Psychopathes, fous, malades…quand les détraqués sont au pouvoir

Le fou dans la cage, c’est lui. Dans sa jeunesse, Javier Milei, le président argentin arrivé au pouvoir en décembre, s’est distingué au poste de gardien de but dans deux clubs de foot : Chacarita Juniors et San Lorenzo. C’était un bon goal, mais il a surtout laissé le souvenir d’un joueur volcanique, à l’ego surdimensionné et à l’assurance inébranlable qui osait tout au point d’hériter du surnom d’El Loco del arco ("le Fou de la cage"). Quelque trente ans plus tard, s’il doit se faire enfermer, ce sera dans une cage dorée : à 53 ans, Javier Milei s’est fait élire président par ses concitoyens après avoir agité une tronçonneuse dans ses meetings, entre autres facéties provocatrices. Comme d’autres avant lui, il va découvrir l’extrême solitude du sommet du pouvoir. Et le manque d’oxygène qui peut dangereusement affecter le cerveau. En aura-t-il fini des clowneries ?

Car si la tête de l’état va parfois mal, peut-on parler de fous pour autant ? De Néron grattant sa lyre en regardant Rome brûler à Donald Trump lançant ses hordes complotistes à l’assaut du Capitole, on va un peu vite en besogne en collant cette étiquette à des dirigeants aux problèmes psychiques plus complexes et variés. Qu’y a-t-il de commun entre la mélancolie pathologique de Louis II de Bavière ou de Churchill et la perversité narcissique des empereurs romains Caligula et Héliogabale ? Rien. Peut-on mettre dans le même sac les psychopathes sadiques que sont Commode et Ivan le Terrible, les mégalomanes Louis XIV ou (...)

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