Protéger nos protéines pour prévenir le vieillissement : une piste prometteuse ?

Ainsi, le secret de la robustesse de cette bactérie extrêmophile dépend de la robustesse de son « protéome » – l'ensemble de ces protéines – et notamment de ses protéines de réparation de l'ADN. Ceci suggère un nouveau paradigme : pour augmenter la longévité, et notamment celle des humains, c'est le protéome – plus que l'ADN – qu'il nous faut protéger. En effet, la survie de l'organisme dépend de l'activité de ses protéines.