"Je pensais qu’elle allait mieux" : le choc de Josiane Balasko face à la mort de Jane Birkin

Les fans et proches de Jane Birkin sont en deuil. La célèbre actrice et chanteuse franco-britannique a en effet été découverte sans vie dimanche à son domicile parisien. Celle qui a vécu une belle histoire d’amour avec Serge Gainsbourg – une romance qui a vu naitre Charlotte Gainsbourg – est morte à l’âge de 76 ans alors qu’elle luttait depuis longtemps contre des problèmes de santé, et notamment un cancer.

"Je la savais malade, je pensais qu’elle allait mieux", a réagi Josiane Balasko dimanche sur BFM TV. "Vous m’avez appris sa disparition et c’est la douceur qui disparait dans un monde de brutes. C’était ça Jane. C’était la délicatesse", a-t-elle également affirmé en saluant "la légèreté et l’humilité" ainsi que la "tendresse et la bienveillance" de la regrettée mère de Charlotte Gainsbourg et Lou Doillon.

L'hommage de Brigitte Bardot à Jane Birkin

"Elle était la première à se moquer d’elle-même (…) C'est quelqu'un que je ne voyais pas beaucoup, mais je me sentais toujours proche d'elle, même si on se parlait peu (...) Elle avait un trac fou au théâtre et à la fois, elle était magnifique, merveilleuse sur scène, c'était aussi une actrice, pas une chanteuse", a tenu à rappeler Josiane Balasko qui a partagé l’affiche de la pièce L’Ex-femme de ma vie avec Jane Birkin et Thierry Lhermitte à la fin des années 1980.

Une expérience qui l’a profondément marquée. "Je me souviens qu'elle avait très, très peur de faire du théâtre (...) Elle a surmonté cette peur qu'elle avait du trac pour jouer avec Thierry Lhermitte (...) Nous n'avons jamais tourné ensemble au cinéma, mais en tout cas au théâtre, elle avait le trac. Elle pouvait avoir un trac maladif au théâtre. Elle était drôle et magnifique sur scène", s’est-elle rappelée.

Autre grande star de l’époque, Brigitte Bardot a elle aussi tenu à rendre hommage à Jane Birkin. "Dimanche 16 juillet bien triste. J’ai un gros chagrin. Jane est partie. Quand on est aussi joli, aussi fraiche, aussi spontanée, avec une voix d’enfant, on n’a pas le droit de mourir. Elle reste éternelle dans nos cœurs. Elle a fui ‘la gadoue, la gadoue’ qui ravage sa seconde patrie et nous chuchote « Je t’aime ». « Nous, non plus », l...

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