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Olivier Véran : cet argument imparable avec lequel il a cloué le bec des antivax et des sceptiques

Le mouvement anti-vaccin prend de l'ampleur. Depuis les débuts de la pandémie de coronavirus, les militants antivax sont nombreux à pointer le gouvernement du doigt, l'accusant de les faire vivre en pleine "dictature sanitaire." Méfiance et aversion qui n'ont fait que grandir, notamment à la suite de l'instauration du pass sanitaire. Sous le feu des critiques, en tant que ministre des Solidarités et de la Santé, et donc incarnant malgré lui la lutte contre le Covid-19, Olivier Véran a fait part de son exaspération. Il n'a pas hésité à leur clouer le bec une bonne fois pour toutes, alors qu'il a accepté de répondre à des questions des lecteurs du quotidien Le Parisien, ce vendredi 23 juillet.

"Si on était en dictature", a-t-il amorcé, "je ne passerais pas des jours et des nuits à débattre de milliers d'amendements. Si on était en dictature, il n'y aurait pas des milliers de Français qui pourraient manifester." Référence à peine voilée aux nombreuses manifestations anti-pass sanitaire qui ont lieu en France, permettant aux antivax de se faire entendre. Olivier Véran ne s'arrête pas là, visiblement prêt à mettre les choses au clair. "Si on était en dictature, pensez-vous pouvoir l'affirmer aussi cash en face d'un ministre ?" Le compagnon de Coralie Dubost l'assure : "le pass sanitaire, on y mettra fin à la minute où nous le pourrons. La loi nous autorise à l'utiliser au plus tard jusqu'au 31 décembre."

Olivier Véran est-il sous pression ?

Il dit (...)

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