Nuit blanche : ce qu’il ne faut (absolument) pas manquer le 1er juin

« Sunset in Paris » de Ludmila Rodrigues & Mike Rijnierse. Installation pour Nuit blanche 2023 (Image d'archive).  - Credit:Jean-Baptiste Gurliat / Ville de Paris
« Sunset in Paris » de Ludmila Rodrigues & Mike Rijnierse. Installation pour Nuit blanche 2023 (Image d'archive). - Credit:Jean-Baptiste Gurliat / Ville de Paris

La 23e édition de Nuit blanche sera la plus longue de son histoire ! « Elle démarrera, cette année, là où le soleil se lève le plus tôt en France, en Nouvelle-Calédonie, et se terminera… là où le soleil se couche le plus tard en France, en Polynésie », évoque ainsi Anne Hidalgo, dont le voyage à Tahiti à l'automne dernier, en partie pour préparer les JO, avait défrayé la chronique. La municipalité a, en effet, choisi de mettre en avant de nombreux artistes ultramarins. Et une multitude d'événements associés se tiendront dans les territoires d'outre-mer.

 - Credit: ©  Clément Dorval / Ville de Paris
- Credit: © Clément Dorval / Ville de Paris

Claire Tancons, 47 ans, est la directrice artistique de cette nouvelle édition de Nuit blanche. Née en Guadeloupe, elle a  vécu près de deux décennies dans les Caraïbes, principalement à Trinité-et-Tobago, et les États-Unis, entre New York et La Nouvelle-Orléans. © Clément Dorval / Ville de ParisSélectionnés par Claire Tancons, la nouvelle directrice de la manifestation, une trentaine de plasticiens, de chorégraphes et de musiciens originaires de Guadeloupe, de Guyane, de Martinique, de La Réunion, de Nouvelle-Calédonie et de Mayotte exposeront leurs œuvres dans l'espace public la nuit du 1er au 2 juin. L'occasion, pour les Parisiens, de découvrir la mosaïque de cultures, de langues et de traditions de cette « France polygonale », comme la surnomme Jacques Martial, adjoint à la Mairie de Paris et chargé des outre-mer.

Musique créole et carnaval, mais pas seulement

La déambulation proposée par la municipalité [...] Lire la suite