N’oubliez pas les paroles (France 2) : Pierre franchit le cap des 150 000 ! Il se confie (EXCLU)

Pierre enchaîne les victoires pour le plus grand bonheur de sa femme Claire qui a été un soutien de taille lors de ses révisions. Le professeur de SVT monte chaque soir son expertise en termes d'apprentissage de parole et il a réalisé un nouvel exploit hier soir, mercredi 12 juin. Alors que sa cagnotte s'élevait à 148 000 euros, le champion actuel est parvenu à dépasser le cap des 150 000 euros haut la main ! En première partie d'émission, après avoir éliminé la concurrence, le candidat a choisi de se lancer sur une interprétation de Destin, de Céline Dion, et le succès a été au rendez-vous puisqu'il a remporté 20 000 euros supplémentaires. En 26 victoires, Pierre est donc parvenu à faire grimper sa cagnotte à 168 000 euros.

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"Je ne me rends pas compte du montant"

On a d'ailleurs échangé avec le champion autour de ce nouvel exploit. "Quand j'attends les 43 000 euros en 5 victoires, c'est un départ incroyable, c'était déjà énorme. Et après, c'est vrai que je ne me rends pas compte de la somme d'argent. Ce n'est pas que je dénigre l'argent que j'ai gagné, mais c'est un peu plus comme des points en plus à gagner pour aller vers les Masters", nous a-t-il d'abord expliqué. Et de continuer : "Il y a une somme d'argent, mais je ne me rends pas compte du montant. À 117 000 euros déjà, je trouvais ça tellement énorme que je ne m'en rendais pas compte. Et quand je dépasse les 150 000 euros, je pense que je ne me rends toujours pas compte que j'ai passé un cap (rires).Même quand Nagui me parle à déjà 117 000, d'aller jusqu'à 150 000, je me dis qu'il est ambitieux pour moi (rires)".

Prêt à entrer dans les Masters maintenant qu'il ne lui manque que 9000 euros pour en être ? "Je suis quelqu'un d'assez prudent, on va dire. Je n'aime pas trop vendre la peau de l'ours et déjà par respect pour les autres Maestros, et puis si je me dis que je vais les battre, je pourrais me déconcentrer. Mais c'est vrai qu'arriver à 168 000 euros, là je me dis que je peux me permettre...

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