Mystère du cœur de Pauline Jaricot, systèmes planétaires et extinction du lynx boréal : l’actu des sciences en ultrabrèves
Au sommaire des ultrabrèves du 16 février 2023 : le cœur de Pauline Jaricot en très bon état de conservation naturelle après 160 ans, des milliers de systèmes planétaires classés en 4 catégories et l’extinction du lynx boréal en France.
L'actualité scientifique du 16 février 2023 c'est :
En Archéologie : Le mystère du cœur de Pauline Jaricot, naturellement conservé pendant 160 ans, intrigue les scientifiques.
Le cœur de Pauline Jaricot est retrouvé très bien conservé 161 ans après sa mort, sans traces d'embaumement.
A l’occasion de la rénovation de son reliquaire, une analyse innovante a été réalisée pour comprendre cette conservation.
Cette analyse n’apporte pas de réponse pour ce cas, mais participe au développement de nouvelles techniques pour faire parler les reliques sans les dégrader.
En Espace : Des chercheurs parviennent à classer des milliers de systèmes planétaires en seulement 4 catégories.
Des chercheurs ont classé les systèmes planétaires selon seulement quatre catégories : "similaire", "ordonnée", "anti-ordonné" et "mélangé".
Lorsque la masse des planètes a tendance à augmenter avec la distance à l’étoile, ils sont "ordonnés". C’est le cas le plus rare, mais aussi celui de notre système solaire.
L’étape suivante consistera à déterminer les facteurs qui expliquent la formation d’un système planétaire plutôt qu’un autre.
En Animaux : Une étude alerte sur "l'extinction imminente" du lynx boréal en France.
Une analyse génétique publiée le 13 février prédit "l'extinction imminente du lynx boréal en France".
Le faible nombre d'individus conduit à une consanguinité dramatique au sein de la population.
Cette population peut toujours être sauvée par l’introduction de nouveaux individus et la lutte contre le braconnage et les collisions routières.
En Nature : Cette plante, vieille de 250 millions d'années, était déjà capable de fermer ses feuilles la nuit.
Des trous semblables à des morsures de phytophages ont été retrouvés sur des feuilles fossilisées vieilles de 250 millions d’années.
L'explication la plus probable pour ces trous sur des feuilles fossiles est qu'elles étaient animées, comme les plantes aujourd'hui, de mouvements nocturnes.
C'est la plus ancienne preuve de ce phénom[...]
Lire la suite sur sciencesetavenir.fr
A lire aussi
Electricité : comment la France est parvenue à éviter les coupures tant redoutées en 2022
Le plasma froid, l’une des 27 pistes sérieuses pour l’indépendance énergétique
La pollution de l’air affecte les performances des joueurs d’échecs
Magasins "Tout à un dollar" : dans les zones rurales américaines, un vrai far west alimentaire