Mort d’Emile au Vernet : cette thèse à laquelle les enquêteurs croyaient dur comme fer jusqu’à la découverte de son crâne

Neuf mois après la disparition d’Emile, deux ans et demi, dans le Haut-Vernet, l’affaire connaît son premier rebondissement de taille. En effet, ce samedi 30 mars, une randonneuse a découvert des ossements du petit garçon à environ deux kilomètres du hameau, confirmant ce que chacun redoutait : la mort d’Emile.   Depuis, des expertises sont en cours afin de connaître la date ou encore les causes de la mort du garçonnet. Bémol : les résultats ne sont pas vraiment concluants. Plus étonnant encore, ils rendent plus incertaine la théorie des enquêteurs avant la découverte des ossements.

Mort d’Emile au Vernet : “La piste accidentelle est clairement renforcée”

Selon les informations du Parisien, jusqu’à samedi, les gendarmes privilégiaient la piste criminelle. Alors que la zone géographique rend plausible la piste accidentelle, le crâne ne présente quant à lui aucune trace évidente de violence extérieure. Des premiers constats qui rebattent les cartes quant aux causes de la mort d’Emile.   “La piste accidentelle est clairement renforcée par les dernières découvertes mais rien ne peut être définitivement écarté à cette heure, si ce n’est l’enlèvement”, indique une source proche de l’enquête. S’il semble actuellement impossible de trancher entre le crime ou l’accident, la découverte d’autres ossements pourrait se montrer déterminante. L’os hyoïde, par exemple, est systématiquement cassé (...)

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