"Merci pour ça" : Spielberg n'avait jamais entendu une aussi belle question de la part d'un journaliste
Nous sommes à la fin de Rencontres du troisième type, premier long métrage de science-fiction réalisé par Steven Spielberg en 1977 (qui compte d'ailleurs parmi les incontournables du genre).
Après avoir passé tout le film à tenter d'établir un contact avec les formes de vies extraterrestres qui leur envoient des signaux, les protagonistes atteignent enfin leur objectif.
Au sommet d'une montagne, dans le Wyoming, un grand vaisseau spatial se pose face à la base établie par une équipe de scientifiques. Ces derniers se mettent alors à pianoter sur le clavier d'un synthétiseur, informatiquement connecté à un énorme mur lumineux.
Les sons et les couleurs, répercutés par leur ordinateur, deviennent un langage auquel le vaisseau extraterrestre est capable de répondre.
Mais cette séquence, qui compte parmi les plus célèbres dans la filmographie de Spielberg, revêt une signification cachée très particulière. Un sens profond et intime que le cinéaste lui-même n'avait pas consciemment saisi en la mettant en scène. Un lointain écho à son enfance, et à la relation que partageaient ses parents.
En 1999, alors que Spielberg était invité dans l'émission Inside the Actors Studio de l'écrivain et animateur John Lipton, ce dernier lui a ainsi posé la question qui a immédiatement propulsé la fameuse scène dans une autre dimension :
"Votre père était informaticien, votre mère était musicienne. Lorsque le vaisseau spatial atterrit, comment communiquent-ils ?"
Pour toute…
Netflix : Chère petite bat déjà un record une semaine après sa sortie
Star Wars : personne ne le sait, mais ce personnage parle une langue qui existe vraiment