Marlène Schiappa, la liberté à tout prix : ses photos pour Playboy

Quand l’information rapportant que Marlène Schiappa allait figurer en une de « Playboy » a fuité dans la presse, le 31 mars, les Français se sont pris à l’imaginer chapeautée d’oreilles de lapin et flanquée d’un pompon blanc sur les fesses. Mais les lecteurs de la ­sulfureuse publication, en ce début d’avril, ne verront la femme politique ni nue ni en « Bunny ».

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Ses robes sont seulement moulantes, et les accessoires, tricolores, de quoi symboliser une Marianne décomplexée. Son ami Gérald Darmanin l’a bien compris. Alors que la polémique enflait, il a rappelé qu’être « une femme libérée, ce n’était pas si facile », et le refrain de Cookie Dingler de nous replonger dans les années 1980, leur naphtaline et leur avalanche de femmes à poil.

En France, les femmes sont libres. N’en déplaise aux rétrogrades et aux hypocrites

Marlène Schiappa sur Twitter

Mais qu’est donc allée faire Marlène Schiappa dans cette galère ? Eh bien, ­justement, parler de libération sexuelle des femmes, d’émancipation, de littérature ­érotique ou encore des violences conjugales, « qui est [s] on grand sujet ».

Avait-elle anticipé le scandale à venir ? Son sourire à pleines dents laisse à penser, outre le plaisir qu’elle a dû prendre à la séance, qu’elle n’en a cure. « Elle assume tout, comme elle l’a toujours fait, et ne regrette rien », confirme l’un de ses collaborateurs. Sur...


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