Une mère de deux enfants souffre le martyre après avoir pratiqué un acte gynécologique par elle-même

En septembre dernier, Kierra avait bon espoir que le DIU pourrait l'aider à gérer ses symptômes d'endométriose. Une infirmière lui avait assuré que cette méthode contraceptive pourrait réduire ses douleurs, explique le Daily Mail. Pourtant, seulement trois semaines après l'insertion du DIU, Kierra a commencé à ressentir des douleurs insupportables, des saignements constants et des changements d'humeur extrêmes. Malgré plusieurs visites à son cabinet médical, elle s'est vu dire d'attendre que son corps s'ajuste au dispositif. "Je savais que quelque chose n'allait pas, mais on m'a dit que les hormones du DIU ne pouvaient pas causer ces symptômes," raconte Kierra. Les mois passant, la situation ne s'améliorait pas, et ses appels à l'aide restaient sans réponse adéquate.

"Je ne pouvais pas attendre plus longtemps"

En avril, après quatre rendez-vous supplémentaires, Kierra a finalement obtenu un accord pour retirer le DIU. Cependant, lorsqu'elle s'est rendue à son rendez-vous, on lui a annoncé que le cabinet n'offrait plus de services de planning familial en raison de restrictions budgétaires. Désespérée, elle s'est tournée vers les services d'urgence, mais ne pouvait supporter l'idée d'attendre encore trois mois pour un rendez-vous en clinique. "Je ne pouvais pas attendre plus longtemps," se souvient Kierra. "C'était trop stressant et douloureux." Sentant qu'elle n'avait plus d'autre choix, Kierra a décidé de retirer elle-même le DIU chez elle. (...)

Lire la suite sur Closer

"Un attentat à l’intérieur de mon corps" : la fille d'Isabelle Huppert déchirante sur la perte de son bébé
Vacances : où et quand partir en Martinique ?
“Des filles canon” : cette demande hors-sol de Claude François au début de sa carrière
TÉMOIGNAGE. "Mon opération m’a sauvé la vie mais a presque tué ma meilleure amie"
Disparition de Delphine Jubillar : "Pas orgueilleux à ce point", ces propos chocs de Cédric démentis