L’interview d’Emmanuel Macron sur France 3 lundi 2 octobre traitera de sécurité et de ruralité

Photo d’illustration prise le 24 septembre 2023 à la rédaction de l’AFP pendant une interview d’Emmanuel Macron sur TF1.
IAN LANGSDON / AFP Photo d’illustration prise le 24 septembre 2023 à la rédaction de l’AFP pendant une interview d’Emmanuel Macron sur TF1.

POLITIQUE - De retour (déjà) sur les écrans du JT. Une semaine après son interview sur France 2 et TF1, le président de la République Emmanuel Macron sera lundi 2 octobre l’invité du journal du soir de France 3, après un déplacement dans le Lot-et-Garonne sur le thème de la sécurité.

Dans la journée, le chef de l’État est attendu à Tonneins pour concrétiser une de ses promesses de campagne en 2022 : le déploiement de 200 nouvelles brigades de gendarmerie, dans l’Hexagone et les Outre-mer. Il s’agit de répondre à « l’attente très forte d’une proximité de la police et la gendarmerie » et de « renforcer le maillage territorial » de l’État, explique l’Élysée. Il sera accompagné du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et du directeur général de la gendarmerie nationale, le général d’armée Christian Rodriguez.

Sur France 3 à partir de 19h15, Emmanuel Macron continuera sur sa lancée, en abordant les thématiques de la sécurité et de la ruralité, précise France 3. Il sera interrogé par Florian Ringuedé, rédacteur en chef de l’antenne d’Aquitaine, depuis la place de l’Hôtel de ville de Clairac, commune voisine de Tonneins.

Le président a choisi cette « chaîne des territoires » pour une interview « consacrée à la sécurité », a indiqué l’Elysée à l’AFP.

L’objectif du président de la République est de doubler dans les dix ans la présence des forces de l’ordre sur la voie publique. La création des 200 brigades représente 2 144 postes de gendarmes supplémentaires, sur les 8 500 créations d’effectifs de forces de l’ordre annoncés par le gouvernement d’ici à 2027. Ces brigades, mobiles pour la majorité d’entre elles, « offriront les mêmes services qu’une brigade fixe » , à commencer par le dépôt de plainte, insiste-t-on à l’Élysée.

La dernière intervention télévisée présidentielle du 24 septembre avait été l’occasion d’aborder plusieurs sujets, comme les prix des carburants, la planification écologique, l’immigration, la taxe foncière parisienne ainsi que l’international avec la situation au Niger et le conflit au Haut-Karabagh.

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