Judith Godrèche : cette victime présumée de PPDA qui lui a ouvert sa porte pour une raison lourde de sens

Une aide bienvenue et inattendue. Son retour en France, Judith Godrèche le doit en partie à Hélène Devynck… alors que les deux femmes ne se connaissaient pas. Pour le comprendre, il faut remonter le temps. Nous sommes alors à Los Angeles. Après le développement d'une série pour HBO, puis des films dont The Climb, Judith Godrèche veut mettre en scène une série d’autofiction entre comédie et drame.   Celle-ci retrace le retour d'une actrice en France après des années passées aux États-Unis. Il s’agit d’Icon of french cinema dans lequel Judith Godrèche incarne son propre rôle. "Afin d'ancrer mon personnage dans une sincérité, je devais raconter son passé", estime-t-elle dans les colonnes des Inrockuptibles ce mercredi 27 mars. Un passé douloureux. Violent. Qui fait froid dans le dos.

Judith Godrèche : "Je ne voulais pas un règlement de comptes"

Puisque, adolescente, elle a été la proie de réalisateurs ayant le triple de son âge. Elle avait 14 ans quand elle s’est retrouvée sous l’emprise de Benoît Jacquot et 15 ans quand Jacques Doillon a abusé d’elle. "Je voulais raconter l'histoire d'une Française qui part à la reconquête de son pays et doit faire face à son passé, mais certainement pas un règlement de comptes ou un réquisitoire", affirme la principale intéressée.   C’est pour ça, entre autres, que dans sa série, elle ne nomme pas Benoît Jacquot et Jacques Doillon. Et de poursuivre : "Il y a eu l'affaire (...)

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