Ces idées reçues sur le paradis vont vous surprendrent

Le paradis est au sommet d’une montagne, affirme le théologien Ephrem le Syrien au IVe siècle : "Avec les yeux de l’esprit, j’ai vu le paradis, et les sommets de toutes les montagnes étaient au-dessous de lui."

C’est un jardin d’amour où le gazon, doux et frais, est fait spécialement pour que les amoureux puissent s’étendre. Le printemps y dure toute l’année. Et les nombreux oiseaux ne cessent de faire entendre leur chant d’amour et de joie ! Son nom : le jardin de Déduit. Bienvenue au jardin d’Eden tel que décrit dans Le Roman de la rose, de Guillaume de Lorris, vers 1225.

Le perroquet est l’oiseau du paradis. Alors que tous les animaux ont cessé de parler à la suite du péché originel, lui seul a gardé cette faculté. Résultat : aux XVIe et XVIIe siècles, c’est lui la star du paradis.

"Il y fait une lumière éclatante pareille à tous les astres réunis." Ainsi l’a vu saint Saulve, mort vif revenu à la vie, qui parle aussi de sources cristallines et de pierres précieuses.

Au milieu de l’éden… coule un fleuve qui alimente toute la terre en eau, croit-on au XVe siècle. Christophe Colomb, débarquant en Amérique, est persuadé d’avoir mis la main dessus. Arrivé à l’embouchure de l’Orénoque (dans l’actuel Venezuela), il pense que si on le remonte, on arrive tout droit au paradis terrestre : "Je pense que cette eau pourrait fort bien descendre de là, pour arriver jusqu’ici où elle forme ce lac [le golfe de Paria]. Tout ceci nous fournit des indices très clairs sur la proximité du paradis (...)

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