Film, musique, expo... : les petits conseils culture du « Point » pour le week-end

Il fallait y penser et les studios Pixar (Toy Story, Cars), as de l'animation, l'ont fait : visualiser les émotions d'une fillette prénommée Riley et en faire une fable pour petits et grands. La formule de Vice-Versa a fait des étincelles, rassemblant 4 355 748 spectateurs en France. Neuf ans après, Vice-Versa 2, produit par le génial Pete Docter (Là-haut, Monstres et Cie), suit la même Riley en pleine puberté, à l'heure des choix cruciaux. Que se passe-t-il dans sa tête ? Un véritable ouragan. Les émotions la submergent. Va-t-elle réussir à intégrer l'équipe de hockey sur glace et la conduire à la victoire ? Doit-elle abandonner en route ses deux amies de classe ? Comment gagner la confiance en soi ? Depuis leur QG, face à une table de contrôle, on retrouve les étranges créatures baptisées Joie, Tristesse, Peur, Colère et Dégoût. Chargées d'évaluer ses émotions et transformer la moindre péripétie en une belle histoire, elles sont comme les scénaristes d'un film improbable qui se construit devant nos yeux. Tout se complique lorsque de nouvelles émotions apparaissent : l'Anxiété, l'Envie, l'Ennui et l'Embarras. C'est le chaos total dans le cerveau de Riley, et le début de ses aventures qui nous entraînent en un éclair d'un match de hockey à un univers merveilleux partagé entre une faille de sarcasmes et une montagne de boules multicolores où sont conservés ses souvenirs. Au-delà des séquences d'animation virtuoses et de cette plongée émotionnelle qui s'appa [...] Lire la suite