Equipe de France de hand: Kounkoud est sorti libre de sa garde à vue pour tentative de viol, l’enquête se poursuit
Comme indiqué par L’Equipe, et confirmé par BFMTV/RMC Sport, la garde à vue de l’international français de handball, Benoît Kounkoud, a été levée ce jour et l’enquête se poursuit, notamment afin de recueillir davantage de témoignages.
Benoît Kounkoud était entendu dans les locaux du 1er district de police judiciaire (DPJ) dans le cadre d’une enquête pour une suspicion de tentative de viol dans une discothèque parisienne. Sa garde à vue a été levée dans la journée de mercredi 31 janvier. "L'enquête se poursuit, notamment afin de recueillir davantage de témoignages", a précisé le parquet, sollicité par l'AFP.
À ce stade, une femme âgée d'une vingtaine d'années accuse l'ailier droit de 26 ans, qui évolue dans un club polonais, d'avoir tenté de la violer dans une boîte de nuit de la capitale dans la nuit de lundi à mardi, moins de quarante-huit heures après avoir été sacré champion d'Europe avec l'équipe de France de handball à Cologne (Allemagne).
Sa garde à vue dans les locaux du 1er district de police judiciaire (DPJ) avait débuté mardi au petit matin, selon le parquet. "Une femme née en mars 2003 lui reproche une tentative de viol, au cours d'une soirée alcoolisée dans une boîte de nuit du 8e arrondissement", a expliqué le ministère public. Il n'était pas possible de connaître dans l'immédiat la position de Benoît Kounkoud sur les accusations qui le visent.
La fédération française "attentive"
À l'annonce de la garde à vue, la fédération française de handball avait déclaré "ne pas être en mesure de commenter cette affaire à ce stade". Tout en assurant être "attentive aux suites qui seront données par les autorités judiciaires".
Le club polonais de Kielce, où évolue Benoît Kounkoud depuis l'été 2022, a déclaré prendre "l'affaire au sérieux et (condamner) tout comportement qui enfreint les règles de la vie sociale".
Article original publié sur RMC Sport
VIDÉO -Hand : le champion d'Europe B. Kounkoud accusé de viol, la FFH "pas en mesure de commenter"