Dépression : il y a des zones du cerveau plus sensibles au traitement que d'autres

Une nouvelle étude menée par les chercheurs de l'Université de l'Iowa (Etats-Unis) a permis de dresser la cartographie des zones du cerveau associées à des symptômes dépressifs sévères et des zones de résilience. Cette découverte suggère que ces zones cérébrales pourraient être des cibles potentielles pour les thérapies de neuromodulation pour traiter la dépression.

Pour cette étude, présentée lors du 35e congrès européen de neuropharmacologie, à Vienne, les chercheurs ont utilisé les IRM et les scores de dépression de 526 patients qui présentaient des zones localisées de lésions cérébrales à la suite d'un accident vasculaire cérébral ou d'un autre type de lésion cérébrale traumatique. Une analyse des données des patients a permis aux chercheurs de corréler les emplacements des lésions cérébrales avec les niveaux de dépression ressentis par les patients dans les mois suivant la lésion cérébrale. "Une cartographie des lésions et des symptômes a été réalisée pour identifier les sites des lésions associés à des symptômes de dépression plus ou moins sévères, que nous appelons régions "à risque" par rapport aux zones de "résilience" soulignent les scientifiques.

Une piste pour les traitements alternatifs de la dépression

La stimulation magnétique transcrânienne ou la stimulation cérébrale profonde apparaissent comme des traitements non pharmacologiques des troubles de l'humeur, et notamment des dépressions résistantes (...)

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