CRIMES DE FEMMES. "La petite tueuse de mamies", cette tueuse en série qui a agi en silence pendant presque 10 ans

C’est un fait incontestable de la criminologie : les femmes résistent à l’appel du crime. Depuis toujours, et ce peu importe où dans le monde, la grande majorité des méfaits violents est commise par des hommes. En France, par exemple, 85% des crimes commis en 2020 l’ont été par des descendants d’Adam, soit un total de 148 130 infractions pénales contre "seulement" 26 361 pour les filles d’Ève. L’écart entre les sexes dans les crimes "semble être quelque chose qui résiste vraiment au changement", souligne Jukka Savolainen, ex-directeur des Archives nationales des données sur la justice pénale dans le Michigan. Cela ne veut néanmoins pas dire que les femmes ne tuent pas. À travers l’histoire, des exceptions ont fait preuve d’un grand machiavélisme, sabotant l’image de douceur et de maternalisme souvent donnée aux femmes. C’est notamment le cas de Jane Toppan, Fabienne Kabou ou encore Juana Barraza. Entre 1998 et 2006, cette discrète Mexicaine a plongé la ville de Mexico toute entière dans l’horreur et la paranoïa… C’est au début des années 2000, en plein cœur de la capitale mexicaine, que cette affaire prend racine. Courant 2003, plusieurs femmes d’âge avancé sont retrouvées mortes à leur domicile. Toutes ont été étranglées à l’aide d’un objet choisi sur place. Un ruban, une ceinture ou encore un câble de téléphone. Chaque fois, aucune trace d’infraction n’est relevée sur la scène de crime. La victime semble (...)

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