"Une décision pas facile..." : pourquoi Lorie Pester a renoncé à avoir un deuxième enfant

"Depuis l’ablation, je revis". Interrogée en août dernier dans Gala, Lorie Pester ne cachait pas que son hystérectomie lui avait changé la vie. "Pendant la grossesse, il n’y a plus de douleurs parce qu’il n’y a plus de règles. Mais après la naissance de Nina, elles sont revenues, et pire qu’avant, ça se répercutait dans mes jambes, dans le dos. J’étais si fatiguée que je tombais dans les pommes. J’avais comme une boule de pétanque dans le ventre", expliquait ainsi celle qui souffre d’endométriose.

En retirant son utérus, la chanteuse et comédienne a dû dire adieu à ses envies de deuxième grossesse, elle qui est maman d’une petite fille née en 2020. Un choix difficile sur lequel elle est revenue dans le podcast InPower. L’occasion aussi d’évoquer la PMA qui a permis de donner naissance à sa petite Nina. "C'était horrible, j'avais des piqûres d'hormones, je crois que j'étais surdosée donc c'était les montagnes russes. Un coup j'éclate de rire, cinq minutes après j'avais envie de sauter par la fenêtre, j'avais des nausées du matin jusqu'au soir (…) Je ne pouvais plus franchement !"

Cette deuxième maladie dont souffrait Lorie

Cette décision a été prise d’un commun accord avec l’homme qui partage sa vie, Yann Dernaucourt. "On a longtemps parlé pour savoir si on voulait un autre enfant. Yann avait déjà un petit garçon qui a 12 ans. Donc à la maison, on a un garçon et une fille, c'est déjà bien. On a quand même des métiers où on bouge un peu dans tous les sens (il est manager du chanteur Eddy de Pretto, ndlr). Et moi, je ne me voyais pas repartir avec des piqûres d'hormones, une nouvelle FIV, franchement c'est épuisant", a ajouté Lorie Pester.

"En plus de l'endométriose, j'avais de l'adénomyose qui est la cousine de l'endométriose sauf que c'est dans l'utérus. Et là, le seul moyen de l'enlever c'est d'enlever l'utérus (…) Une décision pas facile parce que même quand on en parle avec son compagnon, qu'on est sûre de soi, sur la table d'opération (...) j'étais encore en train de pleurer. C'est irréversible&q...

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