Christophe Dechavanne quitte le plateau de Quelle Époque, il évoque son cambriolage en plein direct

En direct de "Quelle Époque!", Christophe Dechavanne a dû quitter le plateau de l'émission de Léa Salamé (France 2). En cause, un cambriolage à son domicile. Il l'a évoqué sur Twitter.

Les cambriolages engendrent tous les jours leur lot de victimes... Nombreux sont ceux qui se voient dépouillés de leur argent, de matériels divers ou d'effets dont la valeur n'est pas toujours quantifiable pécuniairement. Imaginez vivre cela plus d'une fois dans une vie, c'est le cas de Christophe Dechavanne qui a été atteint dans ce qu'il a le plus cher, son intimité, à deux reprises. Et une fois en direct. Alors que samedi 10 juin, l'animateur se retrouvait auprès de Léa Salamé dans Quelle Époque! en deuxième partie de soirée, il a dû quitter le plateau d'urgence. En deuxième partie de soirée, l'émission a en effet été perturbée par un incident puisque Christophe Dechavanne a reçu une alerte de tentative de cambriolage chez lui.

Alors que Philippe Caverivière a rejoint Léa Salamé en plateau, avec son "Phil' actu", il a été interrompu par une sonnerie de téléphone."Ah, il a sa sirène. C'est son médoc !", s'est-il amusé. Avant que l'ancien animateur de Coucou c'est nous ne rétablisse la triste réalité. "Non, c'est un cambriolage...", lui a-t-il répondu. Puis après une deuxième alerte, Christophe Dechavanne a quitté précipitamment le plateau. "Les tableaux, les rolex... C'est de sa faute ! Tout à l'heure, il a fait le malin en disant : 'Moi je suis pilote d'hélico'. Les mecs, ils se sont dits : 'Putain, il a du pognon. On y va !' Niqué..." Puis, l'ex-acolyte de Patrice Carmouze est revenu rapidement en plateau...

Lire la suite


À lire aussi

"C'était le deal de départ" : Christophe Dechavanne évoque le détail qui le chagrine dans "Quelle époque !"
Christophe Dechavanne amer ? Ses confidences sur son rôle de "second" dans "Quelle époque" !
Léa Salamé embarrassée par Christophe Dechavanne, très en forme dans Quelle Epoque ! : "Je voulais vous le dire..."