Les choix culture du « Point » : kung-fu dans le multivers ou rencontre avec Marylin ?

Ana de Armas dans « Blonde », le 28 septembre sur Netflix.   - Credit:
Ana de Armas dans « Blonde », le 28 septembre sur Netflix. - Credit:

Se mettre à l'heure américaine

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Témoin et porte-parole de la vitalité de la production indépendante outre-Atlantique, le Festival du cinéma américain de Deauville, dont Le Point est partenaire, présente pendant dix jours pas moins d'une cinquantaine de longs-métrages, onze avant-premières et trois films sélectionnés au Festival de Cannes, dont la palme d'or, le décapant Sans filtre, du réalisateur suédois Ruben Östlund (en salle le 28 septembre). Pour cette 48e édition, le jury – présidé par le réalisateur Arnaud Desplechin, entouré notamment par l'écrivain algérien Yasmina Khadra et l'actrice Marine Vacth – doit départager treize films en compétition, dont huit premiers. L'événement du Festival est la venue sur le tapis rouge de l'actrice d'origine hispano-cubaine Ana de Armas, tête d'affiche de Blonde (sur Netflix, le 23 septembre), d'Andrew Dominik, tiré du best-seller de Joyce Carol Oates, qui a imaginé la vie de Norma Jean Baker, alias Marilyn Monroe.

À LIRE AUSSIAna de Armas : la bombe qui dynamite « Mourir peut attendre »

Remarquée dans une séquence sexy du dernier 007, Mourir peut attendre, elle sera couronnée par le prix du Nouvel Hollywood, tout comme l'actrice américaine Lucy Boynton (Le Crime de l'Orient-Express, Bohemian Rhapsody) et Thandiwe Newton, héroïne de la série Westworld et actrice fétiche de Ron Howard, de Xavier Dolan et de Roland Emmerich. De son côté, Jesse Eisenberg (The Social Network, Batman v Superman : l'aube de la justice) recev [...] Lire la suite