Les choix culture du « Point » : dialoguer au théâtre avec une IA ou débattre avec de vrais gens au Festival du livre de Paris ?

Image du spectacle DSimon.  - Credit:www.mathildaolmi.com
Image du spectacle DSimon. - Credit:www.mathildaolmi.com

Premier film, premier essai plutôt réussi pour Victoria Bedos coscénariste de La Famille Bélier qui, avec La Plus Belle pour aller danser, signe une comédie légère, ponctuée par des tubes des années 1960-1970, Polnareff et Vartan en tête. Le pitch ? Les tourments d'une ado, Marie-Luce ( Brune Moulin) élevée par son père veuf (Philippe Katerine) qui dirige une pension de famille où sévissent quelques facétieux séniors (Pierre Richard, Guy Marchand, Firmine Richard). Pour s'incruster dans une fête où elle n'est pas invitée, Marie, qui étudie en classe Le Jeu de l'amour et du hasard de Marivaux, décide de se déguiser en garçon, ce qui va changer beaucoup de choses dans ses relations avec son père et un certain Émile, pour lequel elle a un gros coup de cœur. Sur le thème du travestissement et de ses surprises, La Plus Belle pour aller danser révèle une jeune actrice de 14 ans, Brune Moulin, troublante androgyne.

La Plus Belle pour aller danser, en salle.

Dialoguer sur la scène d'un théâtre avec une IA

 - Credit: ©  www.mathildaolmi.com
- Credit: © www.mathildaolmi.com

Image du spectacle DSimon. © www.mathildaolmi.comDans le livre Life 3.0. Être humain à l'ère de l'intelligence artificielle (éd. Dunod), Max Tegmark, cosmologiste et professeur au Massachusetts Institute of Technology, s'intéresse aux promesses et aux dangers de l'intelligence artificielle. Dans la pièce DSimon, un artiste plasticien et une développeuse, Simon Senn et Tammara Leites, interrogent notre rapport intime avec les technologies numériques. Sur scène, les [...] Lire la suite