Au bout, c’est la mer (France 5) : François Pécheux à la découverte du fleuve Ouémé

LES VIEUX SAGES DU MONT TANÉKA

« Je cherche le chef du village », demande François Pécheux, en déambulant entre les maisons aux toits de chaume de Tanéka Béri, situé sur le mont Tanéka (654 m d’altitude). Son but ? Découvrir la source du fleuve Ouémé, long d’environ 500 km, en interrogeant les anciens. « Je vais t’y emmener, c’est plus simple », lance le vieux chef au journaliste, après avoir fumé la pipe et palabré avec les sages du village. Mais la source de l’Ouémé est bien cachée, même quasi invisible, comme va le réaliser François.

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LES HIPPOS DU FLEUVE

« Faut-il avoir peur ou être fasciné ? », s’interroge François, en voyant les narines, les oreilles et les yeux, seules parties émergées d’un groupe d’hippopotames qui l’observent, lui et David, un pêcheur qui lui offre son premier trajet en pirogue sur l’Ouémé. David lui répond : « Moi, j’ai peur », et raconte qu’en 2010, un pêcheur n’a pas eu de chance. En dérangeant une femelle et son petit, il a été renversé et tué par ces animaux dangereux, désormais protégés.

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LES BOKORS DE BOHICON

« Le bokor, c’est comme un sorcier », explique Théo, un Béninois que François a rencontré dans le village tranquille de Bohicon. « Il te met en relation avec le monde invisible. » Adepte du culte vaudou, comme beaucoup de Béninois, Théo emmène François à une consultation en plein air. Le journaliste constate ainsi que l’on peut tout demander aux esprits, à condition de les nourrir et de leur donner à boire, mais que leurs réponses ne sont pas toujours très explicites. François s’aventure : « Est-ce que la femme de mon coeur m’aimera toujours ? »

LES PORTEUSES DE SABLE D’OUINHI ...

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