Alexandra Lamy, Muriel Robin, Énora Malagré... 150 personnalités dénoncent le "totem d''impunité" de Gérard Depardieu dans une nouvelle tribune

On ne compte plus les tribunes concernant l'affaire Gérard Depardieu. Le jour de Noël dans Le Figaro, une lettre en soutien à l'acteur signée par une cinquantaine d'artistes a fait scandale. Depuis, au moins six d'entre eux ont exprimé des regrets ou se sont désolidarisés de la phrase "Quand on touche à Depardieu, on touche à l'art", qui pourrait sous-entendre qu'un "monstre sacré" ne devrait pas avoir à rendre de comptes, même en cas de harcèlement sexuel, agression sexuelle ou viol. Cette tribune a donné lieu à différentes contre-tribunes ou pétitions, signées par 600 ou 8000 artistes, demandant à considérer les victimes et s'offusquant de la défense de Gérard Depardieu par Emmanuel Macron, qui a laissé entendre que les images diffusées dans Complément d'enquête étaient truquées : c'est faux, les rush des images ont été validés par un huissier de justice.

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Désormais, c'est au tout de Libération de publier une tribune intitulée "L'art n’est pas un totem d’impunité". "Nous avons commencé dans ce milieu à des âges différents, à des époques parfois lointaines, parfois proches, et nous avons tous fait le même constat : les rapports de domination sont présents, et les vagues de ces dernières années en ont ébranlé la base sans la faire s’effondrer, du moins dans notre pays. (...) Les monstres sacrés n’existent pas. Il n’y a que des hommes ordinaires auxquels on a donné tous les droits", peut-on ...

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