Voici les 3 intolérances alimentaires les plus courantes

Les intolérances alimentaires peuvent nous rendre la vie dure. Et comme l’ont rappelé plusieurs experts, il y aurait trois principaux coupables à ce phénomène.

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Entre les démangeaisons cutanées, la respiration sifflante et les divers gonflements (lèvres, visage, yeux), les symptômes des allergies sont parfois très handicapants au quotidien, tout comme ceux des intolérances alimentaires.

Concrètement, ceux qui deviennent intolérants à certains aliments ont des difficultés à les digérer, un phénomène qui les fait se sentir mal. Ils peuvent alors rencontrer plusieurs problèmes digestifs comme des flatulences, ballonnements, douleurs, nausées, diarrhée ou constipation. D’autres signes, plus rares, peuvent également survenir comme des maux de tête, une sensation de fatigue, des douleurs articulaires et des éruptions cutanées. Les symptômes apparaissent souvent quelques heures après avoir mangé l’aliment en question.

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Les produits laitiers en tête

Et comme l’ont rappelé plusieurs experts, dont les propos ont été relayés par le Sun, il y aurait trois principaux coupables. Sans grande surprise, ce sont les produits laitiers qui arrivent en tête. Selon une récente étude, il y aurait 65% des personnes qui seraient intolérantes au lactose, un sucre présent dans le lait humain et animal. Et ce, pour une raison toute simple. En vieillissant, nous produisons moins d’hormones capables de digérer les produits laitiers. Les amateurs de fromages et de glaces devront donc, pour beaucoup, réduire leur consommation.

En ligne de mire également : les aliments riches en FODMAP (oligosaccharides, disaccharides, monosaccharides et polyols fermentescibles). Il s’agit de quatre catégories de glucides que l’on trouve dans certains aliments, comme les fruits (pastèque, pêches, nectarines, pommes, poires, mangues, cerises et fruits secs), les légumes (oignon, ail, artichauts, asperges, chou-fleur, pois verts, champignons et pois mange-tout), les céréales (pains à base de blé, de seigle et d'orge, céréales pour petit-déjeuner, biscuits) et les produits laitiers (lait de vache, yaourt, glace, lait concentré, crème anglaise, lait concentré et lait de soja).

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Réduire leur consommation pourrait notamment aider les personnes atteintes du syndrome du côlon irritable. À noter que la plupart des légumineuses (haricots, pois, lentilles), des sucres (miel, sirop de maïs) et certaines noix et graines (noix de cajou, pistache) seraient également à proscrire.

Enfin, les aliments riches en histamine comme les poissons, crustacés et aliments fermentés seraient également responsables d’une grande majorité d'intolérances alimentaires. Concrètement, ce phénomène serait dû à un déséquilibre entre l’histamine et l’activité restreinte des enzymes de décomposition de l’histamine, la diamine oxydase (DAO) et l’histamine N-méthyltransférase (HNMT).

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