Xénobots, biobots : doit-on avoir peur des « robots vivants » ?

La particularité de ces micro-organismes issus de cellules différenciées, donc dotées – du fait de leur état évolutif – d'un rôle précis dans l'organisme, est qu'il est possible de les reconfigurer, c'est-à-dire les programmer pour faire autre chose que leur destination cellulaire d'origine. On peut ainsi faire se mouvoir de façon autonome des cellules épithéliales. Un immense coup de pied dans ce que nous connaissons aujourd'hui de la biologie cellulaire et de l'évolution.