17 février 1673, les dernières heures de Molière : 3 bonnes raisons de voir le film avec Laurent Lafitte au cinéma
Ça parle de quoi ?
Paris, 17 février 1673. Comme tous les soirs, Molière monte sur la scène du théâtre du Palais-Royal pour jouer "Le Malade imaginaire". Ce sera sa dernière représentation.
3 bonnes raisons de voir "Le Molière imaginaire"
Les films sur Molière sont assez peu nombreux au cinéma. Il y a bien eu l'œuvre fleuve d'Ariane Mnouchkine ou celle, plus ludique, de Laurent Tirard. Mais le plus célèbre auteur de théâtre français est plutôt rare sur grand écran. Ce qui fait une bonne raison de voir cet opus, en plus de celles-ci.
1 - Un film en plan-séquence
Comme Birdman, qui se déroulait également dans le monde du théâtre, Le Molière imaginaire adopte la forme du (faux) plan-séquence. Dans un espace clos, entre la scène et les coulisses, la caméra se déplace latéralement et verticalement, passant parfois d'un étage à l'autre avec fluidité, avec un sens de la composition remarquable.
Olivier Py utilise ainsi le langage cinématographique pour parler de théâtre. Sans jamais donner l'impression d'être dans la captation ou la représentation filmée. "Lorsque j’ai commencé à réfléchir à ce film, il y avait l’idée d’un lieu unique permettant le plan séquence. Et aussi cette cavalcade vers la mort qui est rendue inéluctable parce que justement sans plan de coupe", raconte le réalisateur et dramaturge.
Le temps du film est le temps du battement de cœur du spectateur
"Donc pas d’échappatoire. Le temps du film est le temps du battement de cœur du s…
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