Violences à Haïti, Gaza, IVG en France et Donald Trump… La semaine en photos

Le 7 mars 2024, à Port-au-Prince (Haïti). Un homme met un coup de pied dans des pneus en feu, lors d’une manifestation causée par la prolongation de l’état d’urgence par le gouvernement. . PHOTO Ralph Tedy Erol/REUTERS
Le 7 mars 2024, à Port-au-Prince (Haïti). Un homme met un coup de pied dans des pneus en feu, lors d’une manifestation causée par la prolongation de l’état d’urgence par le gouvernement. . PHOTO Ralph Tedy Erol/REUTERS

Haïti est en proie à une vague de violence. Le 7 mars, les autorités ont prolongé d’un mois l’état d’urgence, déclaré depuis que des gangs armés, opposés au pouvoir, ont libéré des milliers de détenus des deux principales prisons du pays les 2 et 3 mars, avant de semer le chaos à Port-au-Prince. L’avenir politique du Premier ministre, Ariel Henry, semble compromis, commente le quotidien haïtien Le Nouvelliste, tandis que “tous les voyants sont au rouge”.

Le 7 mars 2024, à Rafah (bande de Gaza). Des Palestiniens en deuil entourent 47 corps, durant des funérailles collectives. . PHOTO SAID KHATIB/AFP
Le 7 mars 2024, à Rafah (bande de Gaza). Des Palestiniens en deuil entourent 47 corps, durant des funérailles collectives. . PHOTO SAID KHATIB/AFP
Le 7 mars 2024, à Rafah (bande de Gaza). Des Palestiniens en deuil entourent 47 corps, durant des funérailles collectives. . PHOTO SAID KHATIB/AFP
Le 7 mars 2024, à Rafah (bande de Gaza). Des Palestiniens en deuil entourent 47 corps, durant des funérailles collectives. . PHOTO SAID KHATIB/AFP

Joe Biden a appelé, le 7 mars, à un “un cessez-le-feu immédiat” de six semaines à Gaza. Le président américain veut construire un port dans l’enclave, afin de permettre à des camions humanitaires d’y être acheminés par voie maritime. Les opérations de parachutage de denrées alimentaires sur Gaza, organisées ces dernières semaines par plusieurs pays, sont “inhumaines et théâtrales” écrit le site libanais Daraj, qui parle même de “mascarade”.

Le 4 mars 2024, à Paris. Sur le Trocadéro, des milliers de personnes suivent le vote du Congrès pour la constitutionnalisation du droit à l’avortement. . PHOTO PASCAL SONNET/Hans Lucas/AFP
Le 4 mars 2024, à Paris. Sur le Trocadéro, des milliers de personnes suivent le vote du Congrès pour la constitutionnalisation du droit à l’avortement. . PHOTO PASCAL SONNET/Hans Lucas/AFP
Le 4 mars 2024, à Paris. Sur le Trocadéro, des milliers de personnes suivent le vote du Congrès pour la constitutionnalisation du droit à l’avortement. . PHOTO PASCAL SONNET/Hans Lucas/AFP
Le 4 mars 2024, à Paris. Sur le Trocadéro, des milliers de personnes suivent le vote du Congrès pour la constitutionnalisation du droit à l’avortement. . PHOTO PASCAL SONNET/Hans Lucas/AFP

Le 4 mars, sous les yeux de milliers de personnes réunies devant un écran géant près de la tour Eiffel, le Congrès a voté en faveur de l’amendement inscrivant le droit à l’avortement dans la Constitution. Une première dans le monde : la France envoie ainsi “un signal fort au monde entier”, observe le quotidien allemand Die Welt, ainsi qu’“à tous les pays occidentaux où ce droit laborieusement gagné dans les années 1970 a ensuite été remis en question”.

Le 7 mars 2024, au large des côtes du Yémen. Le vraquier “Rubymar” sombre après avoir été touché par des missiles houthistes. . PHOTO KHALED ZIAD/AFP
Le 7 mars 2024, au large des côtes du Yémen. Le vraquier “Rubymar” sombre après avoir été touché par des missiles houthistes. . PHOTO KHALED ZIAD/AFP
Le 7 mars 2024, au large des côtes du Yémen. Le vraquier “Rubymar” sombre après avoir été touché par des missiles houthistes. . PHOTO KHALED ZIAD/AFP
Le 7 mars 2024, au large des côtes du Yémen. Le vraquier “Rubymar” sombre après avoir été touché par des missiles houthistes. . PHOTO KHALED ZIAD/AFP

Le naufrage du vraquier Rubymar au large du Yémen le 2 mars, touché par des missiles houthistes le 18 février, menace l’environnement. Si sa cargaison, 21 999 tonnes d’engrais, venait à fuir, cela “perturber [ait] l’équilibre des écosystèmes” de la mer Rouge, alerte Julien Jreissati de Greenpeace, cité par le quotidien britannique The Guardian. Abandonné par son équipage, le navire a dérivé vers le nord avant de sombrer complètement.

Le 5 mars 2024, à Palm Beach (Floride). Un partisan de Donald Trump montre son tatouage “Maga” (Make America Great Again), lors de la journée électorale du Super Tuesday. . PHOTO CHANDAN KHANNA/AFP
Le 5 mars 2024, à Palm Beach (Floride). Un partisan de Donald Trump montre son tatouage “Maga” (Make America Great Again), lors de la journée électorale du Super Tuesday. . PHOTO CHANDAN KHANNA/AFP
Le 5 mars 2024, à Palm Beach (Floride). Un partisan de Donald Trump montre son tatouage “Maga” (Make America Great Again), lors de la journée électorale du Super Tuesday. . PHOTO CHANDAN KHANNA/AFP
Le 5 mars 2024, à Palm Beach (Floride). Un partisan de Donald Trump montre son tatouage “Maga” (Make America Great Again), lors de la journée électorale du Super Tuesday. . PHOTO CHANDAN KHANNA/AFP

Le 5 mars, les électeurs américains étaient appelés aux urnes dans 15 États pour le Super Tuesday. Du côté républicain, l’ancien président Donald Trump s’est largement imposé face à sa rivale, Nikki Haley, qui a jeté l’éponge dans la course à l’investiture. Du côté démocrate, Joe Biden s’est emparé de tous les États en jeu pour lui. Les deux hommes, observe le quotidien américain The New York Times, se rapprochent “inexorablement” d’un match retour à la présidentielle.

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