Amnesty international accuse les milices kurdes de Syrie de crimes de guerre

Selon un rapport publié hier par l’ONG, l’administration autonome kurde a forcé une partie de la population civile à fuir le nord-est du pays. Maisons détruites, villages rasés, certains miliciens abuseraient de leur pouvoir en représailles aux habitants soupçonnés d’avoir aidé des membres de l‘État islamique. Déjà montrées du doigt pour ces agissements, les forces kurdes syriennes répondent régulièrement que ces accusations portent sur des “cas isolés”.