« Vice-Versa 2 » signe le meilleur démarrage de l’année 2024, tous films confondus

« Vice-Versa 2 » poursuit son carton en France.
Disney/Pixar « Vice-Versa 2 » poursuit son carton en France.

CINÉMA - Après avoir retourné le box-office américain, Vice-Versa 2 peut-il en faire de même chez nous, en France ? D’après des chiffres dévoilés, ce jeudi 20 juin, par les équipes du film d’animation, le dernier Pixar signe le meilleur démarrage de l’année 2024, tous films confondus.

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Près de dix ans après le succès du premier volet (qui avait réuni 121 556 spectateurs le premier jour de sa sortie dans l’hexagone en 2015), Vice-Versa 2 a enregistré plus de 527 500 entrées lors de son premier jour d’exploitation en France, dont 226 000 en avant-première.

Des chiffres qui confortent le succès outre-Atlantique, où la suite du blockbuster Vice-versa (Inside out, en version originale) a raflé 155 millions de dollars dès sa sortie, selon les données fournies, dimanche 16 juin, par le cabinet spécialisé Exhibitor Relations.

Il a ainsi réalisé non seulement le deuxième meilleur démarrage pour un film Pixar sur le continent américain, mais aussi le meilleur démarrage de l’histoire pour un film d’animation au box-office mondial. Qui plus est, c’est également le meilleur démarrage pour un film depuis Barbie, à l’été 2023.

Découvrez ci-dessous la bande-annonce :

Dans cette suite très attendue du film des studios Pixar et Disney, l’héroïne, Riley, découvre avec la puberté de nouvelles émotions : Anxiété, Ennui, Embarras, ou encore Envie. Le réalisateur, Kelsey Mann, voulait « de nouvelles émotions, plus sophistiquées » pour accompagner Riley dans son adolescence, période qu’il a lui-même traversée « avec difficulté, comme beaucoup », comme il l’a expliqué à l’AFP.

Pour en arriver là, il a fallu quatre ans de travail, « 10 versions différentes », 400 professionnels mobilisés, dont 150 animateurs, soit « la plus grosse équipe d’animation jamais réunie par Pixar en 28 films », a confié à son tour le producteur Mark Nielsen, toujours à l’AFP. Un retour sur lequel Disney misait gros.

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