Dans « Qui veut être mon associé ? », Marc Simoncini s’est fixé une règle bien précise

« Qui veut être mon associé ? » signe son retour sur M6 ce 4 janvier à 21h10.
M6/Qui veut être mon associé « Qui veut être mon associé ? » signe son retour sur M6 ce 4 janvier à 21h10.

TÉLÉVISION - « S’il n’y a pas de futur, il n’y a pas de projet ». L’émission de M6, « Qui veut être mon associé ? » signe son grand retour ce mercredi 4 janvier à 21h10 pour une troisième saison dans laquelle des entrepreneurs vont tenter une nouvelle fois de convaincre plusieurs investisseurs de miser de l’argent sur leur start-up, en échange d’une part dans leur capital.

Pour cette édition 2023, l’émission se passe désormais d’un présentateur, mais accueille une nouvelle investisseuse, Isabelle Chevalier, l’ex-PDG de Bio-K+ International. Elle rejoint ainsi Delphine André, Eric Larchevêque, Jean-Pierre Nadir, Anthony Bourbon et Marc Simoncini.

Fervent défenseur de la cause animale et environnementale, Marc Simoncini compte bien, lui, investir seulement son argent « dans des projets qui ont un impact sur la planète » et ne plus regarder « aucun dossier avec un œil de financier », explique-t-il dans son portrait.

Auprès du HuffPost, ce dernier est revenu sur cette règle qu’il s’est fixée dans la troisième saison de « Qui veut être mon associé ? » et qu’il a tenté de respecter, avec tout de même quelques exceptions.

« Je veux investir que dans ce type de projet désormais »

Arrivé en tant qu’investisseur dans la première saison de « Qui veut être mon associé ? », Marc Simoncini, connu notamment pour avoir créé Meetic, investit depuis déjà 25 ans dans des sociétés et grâce à l’émission, il fait maintenant son « métier devant des caméras de télé », raconte-t-il au HuffPost.

Désormais, ce dernier fait de plus en plus attention aux différentes sociétés dans lesquelles il place son argent et privilégie d’ailleurs certaines plus que d’autres. « Je fais très attention au dossier dans lequel je rentre et je veux absolument que ce soit un dossier qui puisse avoir un impact réel, mesurable sur la biodiversité, la nature, le climat… Je veux investir que dans ce type de projet désormais ». Ainsi, pour le chef d’entreprise de 59 ans, l’entrepreneuriat doit davantage se tourner vers des projets qui concernent la cause environnementale, « parce que s’il n’y a pas de futur, il n’y a pas de projet », explique-t-il.

De ce fait, Marc Simoncini ne regarde plus « aucun dossier avec un œil de financier » dans l’émission, car, pour lui, l’argent ne passe qu’au second plan. « La première question à se poser c’est : ’est-ce qu’on arrive à régler un problème’, la deuxième question c’est : ’est-ce qu’on gagnera de l’argent avec ça’ », explique le fondateur de la société de vélo Angell.

« Un bon entrepreneur réussira un mauvais projet »

Bien qu’il se soit fixé cette règle, Marc Simoncini reconnaît avoir fait quelques exceptions lors du tournage de l’émission. « Pour cette saison, j’ai essayé d’appliquer cette règle le plus possible et ça n’a pas été simple. J’ai fait des exceptions… ». Les projets des entrepreneurs étant différents les uns des autres, il est ainsi difficile pour l’investisseur de passer à côté d’une bonne idée et de ne pas miser de l’argent.

Ainsi, dans cette troisième saison, à tour de rôle, Marine et Jean-Sébastien présenteront leurs pailles pour boire en seigle bio, Thibaut et Jean leur marque de capsules de café réutilisables et Émilie tentera de convaincre avec sa Détective Box.

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Mais malgré les différents projets, Marc Simoncini souligne que dans les discours des entrepreneurs, « il y a toujours l’aspect bio, l’aspect made in France, l’aspect respect de l’environnement » qui ne semble pas être « fake » pour lui.

Et quand le projet d’une start-up ne concerne pas la cause environnementale, pas question pour Marc Simoncini de fermer les yeux sur les dessous de l’entreprise. « Tout le monde peut inclure le RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) dans son activité même si elle n’est pas fondamentalement une activité de type impact [pour la planète, ndlr]. Il ne faut plus lancer un business aujourd’hui qui aggrave la situation, mais qui essaye au maximum d’améliorer la situation… Sinon ça ne sert à rien », déclare-t-il.

Cette année, même s’il a fait quelques exceptions, le chef d’entreprise affirme que son projet favori « règle un gros problème d’environnement » et qu’il compte bien aider cette start-up au maximum. « Qui veut être mon associé ? » signe son grand retour ce mercredi 4 janvier à 21h10 sur M6.

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