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Verbatim. Au Burkina Faso, le gouvernement remet en cause à mots couverts la présence française

La contestation contre la présence militaire française prend de l’ampleur au Burkina Faso, alors que le pays connaît des attaques terroristes régulières. Devant la colère populaire qui monte, les autorités burkinabées semblent désemparées.

<![CDATA[/* ><!]]>*/ “Le problème rencontré par ce convoi [de l’armée française] devrait nous donner l’opportunité d’interroger véritablement la coopération entre le Burkina Faso et la France, plutôt que de considérer que ce sont des manipulations des réseaux sociaux.”

Ousseni Tamboura Porte-parole du gouvernement du Burkina Faso

C’est par ces mots que le porte-parole du gouvernement burkinabé, Ousseni Tamboura, a commenté les incidents qui ont émaillé le passage d’un convoi de l’armée française à travers le territoire burkinabé, à la mi-novembre. Ce convoi, en provenance de Côte d’Ivoire, a été bloqué trois jours par des manifestants dans la ville de Kaya.

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Les propos, tenus lors d’une interview sur la télévision privée Oméga TV, ont été rapportés notamment par le site AfrikSoir. Ousseni Tamboura a également ajouté, dans cet entretien

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