Voitures électriques à 100 euros par mois : l'offre de leasing social sera - un peu - plus chère que prévu

Alors que de nombreux réglages restent à peaufiner, le leasing social pour les véhicules électriques, promis par le président de la République Emmanuel Macron lors de ses vœux de début d'année, sera prêt en 2024. Lors de la journée de la filière automobile, organisée par la PFA (Plateforme automobile) ce mardi 24 octobre, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, a rappelé que la mise en place d’une offre de location de véhicules électriques neufs à 100 euros par mois, sous conditions de revenus, sera effective à compter du 1er janvier. Avec la possibilité d’un pré-enregistrement dès cet automne. Le décret devrait être prochainement publié. Le ministre a également posé le cadrage du dispositif de location, avec ou sans option d’achat. Nous avons également pu consulter un document officiel.

Le contrat de type LLD (location de longue durée) ou LOA (location avec option d’achat) s’étendra sur une durée de trois ans, avec une résiliation gratuite en cas de décès, d'invalidité ou de perte d’emploi du locataire. Un bémol, le gouvernement ne serait pas parvenu à boucler le budget avec ces services. Bruno Le Maire évoque désormais un leasing à 100 euros «hors assurance». En effet, selon le document que nous nous sommes procuré, il convient désormais de parler d’un «prix de location inférieur à 150 euros par mois»…avec donc le coût de l’assurance inclus.

Les montants de l’aide, maintenant. La subvention devrait atteindre jusqu’à 13 000 euros en comptant le bonus écologique actuel de 7 (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Carburant : les prix du diesel et de l’essence repartent légèrement à la hausse
Carburant : les prix du diesel et de l’essence repartent légèrement à la hausse
Les SUV électriques toujours pas concernés par le malus écologique, et c'est Bruno Le Maire qui le dit
Les SUV électriques toujours pas concernés par le malus écologique, et c'est Bruno Le Maire qui le dit
Affaire du «Motorgate» : les victimes des moteurs défectueux de Stellantis et Renault montent au créneau