Le tueur « Fils de Sam » ne sera pas remis en liberté, sa demande rejetée pour la 12e fois

Dans les années 1970, le « tueur au calibre 44 » a terrorisé les habitants de New York. Auteur d’une série de fusillades, l’homme a tué six personnes et en a blessé sept autres entre juillet 1976 et avril 1977.

À chaque fois, le tireur visait des jeunes femmes et des couples assis dans des voitures et envoyait ensuite des messages à la police pour les narguer. Messages qu’il signait « Fils de Sam » (surnom rapidement repris par la presse américaine) et dans lesquels il expliquait avoir reçu « des messages démoniaques l’invitant à tuer ».

Je vis pour qu’on me chasse. Je ne veux plus jamais tuer, plus jamais, mais je dois "honorer mon père"

Lettre du « fils de Sam »

Le vent de panique provoqué par ce tueur en série était tel dans la « grosse pomme » qu’elle a poussé la police à mobiliser jusqu’à 200 personnes pour traquer le tueur en série. Et toutes avaient la pression. Car persuadées que les victimes étaient toutes de jeunes brunes, les New-Yorkaises se rendaient chez le coiffeur pour changer de look. Le 1er août 1977, le « New York Post » titrait : « Personne n’est à l'abri du Fils de Sam ».

Le tueur entendait des voix sataniques

C’est finalement le témoignage d’une personne qui a vu le tueur près d’un des lieux de ses meurtres, qui a permis aux enquêteurs de le retrouver. Ce témoin a signalé la présence d’un homme étrange dans la rue à proximité d’une fusillade qui venait d’éclater. La police a alors vérifié les contraventions qui avaient été émises dans la r...


Lire la suite sur ParisMatch