Tuerie au Sofitel d’Avignon : ces zones d’ombre qui continuent à intriguer quatre décennies plus tard

C’était il y a plus de 40 ans. Le 5 août 1983, l’hôtel Sofitel d’Avignon est le théâtre d’un drame innommable. Sept personnes, dont quatre employés et trois clients, sont sauvagement assassinées par des malfrats. Alertées, les autorités parviennent à arrêter un suspect, un certain Jean Roussel, spécialiste des hold-up et des attaques à main armée. Son complice, Jacques Gouttenoire, est retrouvé mort le lendemain, le corps criblé de balles. L’enquête lancée, les policiers sont persuadés qu’un troisième complice se cache quelque part. Ils tentent de l’identifier, en vain. Six mois après la tuerie, Jean Roussel accepte de parler. Il affirme qu’en entrant dans le Sofitel, lui et ses complices avaient pour cible le consul de France de Sarrebruck. Ce dernier avait accepté d’aider certains criminels à fuir la France moyennant une compensation financière. Néanmoins, le consul serait revenu sur sa décision. Le complice non identifié de Roussel l’aurait alors abattu, suite à quoi Gouttenoire aurait "disjoncté" et tué sept innocents.

Quarante ans après, le mobile du crime reste un mystère

Quarante ans après, de nombreuses zones d’ombre persistent autour de la tuerie du Sofitel d’Avignon. En 1985, Roussel est mort d’une crise cardiaque sans que sa version ne puisse être prouvée. En conséquence, les proches des victimes du Sofitel restent dans un flou total. "Le fils de mon frère ne saura jamais pourquoi il est mort", déplore (...)

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